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Présentation

  • : Le Rappel de Dieu
  • : Ce blog est destiné à tous les musulmans qui cherche à se rapprocher d'Allah par Sa Parole et celle de notre bien aimé prophète(saw). Par ailleurs, les non- musulmans qui veulent apprendre ou s'intéresser l'islam et ses innombrables richesses sont les bienvenues. Des thèmes, des histoires, de la spiritualité..y sont abordés. Contact : le-rappel@live.fr vos suggestions sont les bienvenues. ACCUEIL
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Evènement

Thème du moment

Vaincre les tentations

 

La lutte contre les tentations, le plus souvent appeller en arabe " jihad nafs" littéralement  "effort contre son égo", implique pour le musulman de faire les efforts pour aboutir à une maitrise de soi.

Cela suppose un effort intellectuel pour disserner la limite entre le bien et le mal, entre le "hallal" et le" hram", entre la bonne action et la mauvaise action.

Cependant, l'effort intellectuel ne suffit pas. En effet, il est necessaire d'agir en consequence pour arriver à gérer et à controler son instinct et ses pulsions . Pour cela le croyant doit se contenir en étant maître de son ego.

C'est pourquoi le musulman est appeller à délaisser l'illicite pour parfaire son caractère et à se rapprocher du modèle, à savoir le prophète Mohammed (saw).

      Qu'Allah face de nous des musulmans sincères.

Allahouma amine.

Archives

26 septembre 2008 5 26 /09 /septembre /2008 11:39
A l'heure où le mois généreux du ramadan se termine, la tourmante économique et financière se pointe à l'horizon au niveau mondiale.

A l'heure où des millions de musulmans dans le  monde participent à une solidarité économique et sociale en  sortent leur zakat el fitr pour aider les plus démunis, des institutions, des particuliers sombre dans le sur-endettement  et la faillite.

Ce texte issu d'un journal économique de référence analyse à quel point l'économie vit dans un monde irréel dans lequel il a perdu tous ses repères. L'auteur avance avec sagesse, que le coran appelle depuis son existance à un équlibre des mécanismes économiques.




Le pape ou le Coran


André Comte-Sponville, philosophe, nous l'a redit à satiété : le capitalisme ne peut pas être moral, ni contre la morale. Il est tout simplement amoral. L'économie et la morale relevant, au sens pascalien, de deux ordres différents, tenter de conjuguer les deux ensemble relève du «barbarisme», rappelle l'auteur de l'excellent essai Le capitalisme est-il moral ? (éditions Albin Michel). Mais même pour ceux qui ne croient pas à l'ordre divin, quelle tentation, au moment où le pape est en visite en France, de chercher quelques repères sur l'économie dans les textes du Vatican. Notre chroniqueur Robert Rochefort, qui cache derrière ses fonctions de directeur du Crédoc un attachement à la tradition des chrétiens sociaux, n'a pourtant rien trouvé de très récent en provenance de Rome (lire page 61).

 Rien en tout cas de très important depuis 1991, quand Jean-Paul II s'était essayé à l'économie dans son encyclique Centesimus annus, et qu'il y avait donné une justification du profit du bout de la crosse : la pierre angulaire du capitalisme y était reconnue tout au plus «comme un bon indicateur du fonctionnement de l'entreprise». En réalité, et Benoît XVI nous pardonnera, au moment où nous traversons une crise financière qui balaie tous les indices de croissance sur son passage, c'est plutôt le Coran qu'il faut relire que les textes pontificaux. Car si nos banquiers, avides de rentabilité sur fonds propres, avaient respecté un tant soit peu la charia, nous n'en serions pas là. Il ne faut pourtant pas voir la finance islamique comme un exercice de troc moyenâgeux, car les pays du Golfe nous ont montré combien leur mentalité entrepreneuriale savait épouser le XXIe siècle. Simplement, leurs banquiers ne transigent pas sur un principe sacré : l'argent ne doit pas produire de l'argent. La traduction de cet engagement est simple : tout crédit doit avoir en face un actif bien identifié. Interdits, les produits toxiques; oubliés, les ABS et CDO que personne n'est capable de comprendre. Autrement dit, l'argent ne peut être utilisé que pour financer l'économie réelle.

Il n'y a donc pas de hasard : si les banques du Golfe sont sorties indemnes de la crise du subprime, c'est qu'elles n'y sont pas entrées. Le respect de ce principe du Coran est également fort utile dans la relation que chacun entretient avec l'argent, qu'il s'agisse des entreprises ou des particuliers : les personnes morales n'ont ainsi pas le droit de s'endetter au-delà de leur capitalisation boursière; quant aux personnes physiques, elles ne peuvent de facto souffrir de surendettement. Voilà des règles qui ne peuvent pas nuire. Et même si elles reposent sur un texte qui date du VIIe siècle, Benoît XVI aura du mal à faire des sermons davantage puisés dans l'actualité.

Beaufils Vincent

source Challenge.fr
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16 septembre 2008 2 16 /09 /septembre /2008 15:30

Achetez votre mettre carré de mosquée symbolique !

 

 URGENT 2008 : La mosquée d'Aubervilliers doit être financée !
Lancement "Opération achat 1m2"

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La mosquée d'Aubervilliers, 5 rue de la grande cours , doit respecter des délais de financement.

L'association AMA lance à l'occasion du mois généreux du ramadan l'opération achat 1m2= 500E, sachant que  cette mosquée fait
350 m2.

Profitez de ce mois pour accomplir une bonne action qui vous sera rétribuée inchallah le jour du jugement.


Coordonnées bancaire :
société générae
Titulaire du compte : AMA
112 bd félix faure
93300 aubervilliers

30003 03720 00050510647 25

 


Le Prophète (que la bénédiction et le salut d’Allah soient sur lui) a dit :
Celui qui construit une mosquée pour Allah, Allah lui construira une demeure au Paradis. » (
Rapporté par Mouslim).

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6 septembre 2008 6 06 /09 /septembre /2008 12:18
Il est vrai que le ramadan est  par définition le mois de l'abstinence et du recueil spirituel ,de ce fait les exès sont en principe maitrisés et cela devrait entrainer une baisse des ventes des produits alimentaires. Mais cette idéal est rattrappé par une réalité  plus sombre par nos consommateurs musulmans.... Cette article pertinent montre à quel point notre communauté est vicitime d'un système qu'elle même à imposé par ses faiblesses. CEDOMIR NESTOROVIC Le point de vue de Le business du ramadan [ 02/09/08 ] -http://www.lesechos.fr-

Le ramadan, qui a commencé le 1er septembre en France, est un mois sacré pour plus de 1,3 milliard de personnes dans le monde et l'observation stricte du jeûne est un des piliers de l'islam qui ne souffre pas d'exception. L'abstinence, si elle est scrupuleusement observée, devrait se traduire par une baisse des ventes, notamment des produits alimentaires. En fait, ce qui se passe est exactement le contraire et l'augmentation des dépenses ne touche pas seulement les produits alimentaires, mais aussi l'habillement ou bien les cadeaux de toutes sortes.

D'où vient ce paradoxe qui fournira les bases du « ramadan business » ?

Il a deux origines.

La première est physiologique, car il est évident que si l'abstinence de toute nourriture et boisson est observée pendant la journée, il y aura forcément une demande de compensation nutritionnelle le soir. La seconde raison est que c'est un mois de fête où les familles se retrouvent la nuit tombée, avec les voisins et amis, ce qui est propice à une surconsommation alimentaire. Les entreprises ont très bien compris cette contradiction et augmentent leurs dépenses publicitaires dès le signal du « maghrib », la prière du crépuscule, qui marque le moment où le repas du soir, l'« iftar » peut être servi. Les fabricants de sodas savent très bien que leurs produits sont très demandés pour la rupture du jeûne du fait que leurs boissons sont très caloriques et les entreprises n'ont pas besoin de faire des publicités demandant de consommer plus. Elles préfèrent jouer sur les valeurs comme la charité et le partage plutôt que sur l'appel à la consommation.

Ce qui n'est pas le cas de McDonald's, qui, en Malaisie, a sorti une offre spéciale avec un prix unique et une consommation sans limite. Si certains consommateurs ont apprécié, d'autres se sont offusqués d'une offre qui est contraire au principe de l'abstention. Selon des données de la Chambre des industries céréalières d'Egypte, le mois du ramadan représente une augmentation de consommation de 14 % de farine et 25 % de riz alors qu'en Tunisie la part des dépenses alimentaires pendant le ramadan passe de 38 % à 51 %. En Egypte encore, ce sont les sacs ramadan qui font fureur car ils contiennent une grande partie de produits indispensables (dattes, riz, farine, sucre, oeufs, beurre, huile, pâtes) qui peuvent être achetés pour soi ou bien pour donner aux nécessiteux. L'alimentation n'est pas la seule à tirer son épingle du jeu pour le mois du ramadan.

L'autre business très important est celui des « musalsals », les séries télévisées diffusées pendant le mois du ramadan. Un « musalsal » est une série de 30 épisodes dont le format est d'une heure par épisode. Ce marché est devenu une foire d'empoigne car les données démographiques pour la région du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord sont plus que favorables (population totale de 320 millions de personnes). La seconde raison est que la télévision constitue le premier loisir de cette population et elle est allumée en permanence dans certains foyers. Il suffit aujourd'hui de posséder une parabole et plus de 150 chaînes émettant en arabe sont à disposition sans parler des chaînes terrestres qui ne nécessitent pas de parabole. Un épisode d'une série inédite est vendu entre 5.000 et 80.000 dollars aux chaînes les plus en vue comme MBC, LBC, Abu Dhabi TV ou Dubai TV et les producteurs font le maximum pour sortir leurs séries pour le ramadan et non à un autre moment de l'année. Plus de 100 séries sont produites tous les ans pour le ramadan et les budgets augmentent d'année en année, passant de 500.000 dollars en moyenne à 1,5 million de dollars pour une série. Ces prix ne sont pas prohibitifs car l'audience est au rendez-vous et les chaînes peuvent se rattraper sur les publicités qui vont encadrer les séries. A
titre d'exemple, un spot de trente secondes sur Future TV se vend à 6.000 dollars (ce qui est près du double par rapport à un mois ordinaire).

Le mois du ramadan est donc LE mois de la consommation dans les pays islamiques,
mais certaines initiatives sont plus risquées. Il est en effet très courant d'organiser des loteries comme les « ramadan festivals » dans les pays du Golfe où des centres commerciaux de Sharjah et Dubaï effectuent des tirages au sort permettant aux consommateurs de gagner des biens de valeur comme des voitures, mais comme les jeux de hasard sont en principe interdits par l'islam, certains croyants voient d'un mauvais oeil ces pratiques.

En tout cas,
les sociétés occidentales prennent leur part de gâteau du « ramadan business » dans les pays islamiques et cherchent maintenant à étendre ce business dans les pays occidentaux qui disposent d'une population musulmane importante. La première cible sera la France puisque c'est le pays occidental avec la plus grande population musulmane.

Source : CEDOMIR NESTOROVIC Le point de vue de Le business du ramadan [ 02/09/08 ] -http://www.lesechos.fr-
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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 12:57

Cette extrait d'article  ( El watan 12 mai 2008)  sur la situation au proche orient, rappel à quel point la situation est grave pour les arabes et les musulmans au proche orient et particulièrement en palestine et en Irak.
Clayton E.Swisher est un célèbre chercheur américain , spécialiste du moyen orient. Il révèle des faits troublants et reste peu optimiste sur l'amélioration de la situation dans cette région sensible.


Après soixante ans, Israël ne sait pas encore où il va », a estimé hier Clayton E. Swisher, chercheur américain à la Fondation Carter, spécialiste du Moyen-Orient, lors d’un débat organisé hier à Alger par le quotidien national Ech-Chaab, sur « Les projections américaines sur l’avenir de l’Etat palestinien ». Selon lui, des Israéliens quittent ce pays n’étant plus convaincus qu’Israël soit « une réalité qui a un sens ». « Israël fait appel à de jeunes migrants (...) Il arrive que des soldats israéliens parlent le russe avec des Palestiniens qui s’expriment en hébreu. Reste que le comportement des autorités israéliennes attise l’antisémitisme dans le monde. Cela dit, la haine des juifs est née dans l’Europe chrétienne et pas dans le monde arabe », a-t-il soutenu. Il a qualifié la politique américaine au Moyen-Orient d’irrationnelle. Selon lui, les conseillers actuels du président George W. Bush vivent dans une autre planète. « Ils ne voient qu’Israël entouré de 22 pays arabes....

D’après lui, l’idée de la création d’un Etat palestinien crédible « avec frontières claires, commerce extérieur et espace aérien » est encore lointaine. Il a rappelé que le président américain avait parlé d’un Etat palestinien en 2005. « Trois ans après, il n’en est rien. C’est simple : la feuille de route a été lancée pour faire oublier l’occupation de l’Irak. En fait, l’administration Bush a retenu la leçon de l’administration Clinton sur ce dossier », a-t-il noté. Selon lui, les attaques du 11 septembre 2001 ont autorisé Washington à considérer tout mouvement armé de résistance comme groupe terroriste. Aussi, les discussions ne sont-elles valables, d’après lui, qu’avec le mouvement Fatah d’Abou Mazen et pas avec le Hamas. « Même si le Hamas est populaire à Ghaza et qu’il est issu des urnes, Fatah est perçu comme le seul interlocuteur valable. Il bénéficie d’un soutien logistique militaire (...) La situation à Ghaza ressemble à Mogadiscio en Somalie », a-t-il relevé soulignant que « la trêve » actuelle autour de la bande de Ghaza est tactique pour éviter que « la fête sur les soixante ans de la création d’Israël (ne) soit gâchée ». Citant « une lettre » envoyée par Ariel Sharon, ex-Premier ministre israélien, à Washington, il a indiqué qu’Israël n’est ni prêt à revenir aux frontières de 1967 ni à céder sur l’expansion des colonies. Les Etats-Unis cherchent, selon Clayton Swisher, à contenir l’Iran, à marginaliser la Syrie et à écarter le Hamas. « Il n’existe aucune solution à l’occupation du Golan syrien où vivent 17 000 colons israéliens, ni aux fermes libanaises de Chebaa », a-t-il observé. Interrogé sur les positions favorables à Israël des candidats à l’élection à la présidentielle aux Etats-Unis, le chercheur a prévenu : « Méfiez-vous de ce qui est dit et de ce qui est réel. Par le passé, tous les candidats ont promis de transférer l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem. Cela n’a jamais eu lieu. » Selon lui, si John McCain (républicain) gagne les élections, il va poursuivre la politique de George W. Bush au Moyen-Orient. Idem pour Hillary Clinton qui poursuivra la politique de son époux, Bill William Clinton. « Il n’y aura aucun changement », a-t-il soutenu. Clayton Swisher ne croit pas trop que la Jordanie soit stable avec « 50% de la population constituée de réfugiés palestiniens et irakiens ». En Egypte, le pouvoir de Hosni Moubarek est, selon lui, impopulaire à cause des choix en politique extérieure et pas forcément à cause du pain. Aussi a-t-il prévu une destruction programmée dans la région. « La théorie du chaos est en cours au Moyen-Orient. Cela va du Pakistan à l’Afghanistan, au Liban, à la Syrie, à l’Irak et à la Palestine. Il y a risque que ce chaos ressemble à une offensive judéo-chrétienne contre les musulmans. J’espère que cela n’aura pas lieu », a déclaré l’universitaire américain....

(source  : Faycal Metaoui http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=94023 )

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